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Présentation

Texte Libre

La vie c'est comme un papillon, grand, beau, coloré, éphémère aussi.
Les ailes déployées ont l'air si pur comme deux êtres qui volent côte à côte, simples et identiques. Mais si on y regarde de plus près, la vision révèle des distinctions. L'une est toujours plus forte, plus belle, plus exceptionnelle. De chaque côté une tache colorée légèrement differente plus grande, moins bleue ou mauve, plus terne, moins éclatante de santé.
Ceux qui s'attardent à ces détails laissent disparaitre derrière leurs préjugés des merveilles de la nature qui a créé la différence pour que chacun y trouve son compte et sa definition de la beauté et du bonheur.
Si il y a toujours des papillons c'est bien que certains ont compris.
Si le papillon tient toujours sur ses ailes c'est bien qu'il est encore temps de comprendre.
Car par jalousie, l'être humain est capable de tout et n'importe quoi alors que le papillon, lui ne se détruirait pas pour une simple question de différence. Car le jour ou l'aile décide de faire disparaitre l'autre rien ne l'empèche de se sacrifier pour remporter la victoire.
Aucun problème ne survient car un papillon est fier de ses deux ailes comme la terre devrait l'être de tous ses enfants. Mais les gosses ont décidés de faire la guerre au lieu de profiter de leur chance.
On se conduit tous comme des gosses. Ca serait bien qu'enfin les êtres puissent paraître intelligent au moins un instant...


Ce que l'on ose faire je le regrette. Comment ont-ils osé? Pourquoi m'enlever de cet univers aussi parfait qui est le sien, le tien, le leur, le votre. Rien n'est parfait on le sais bien mais ce monde cache si bien ses blessures qu'il en sort comme famillier, vivant, éternel. Autant de mots que le vent emporte...
Je croi que ces larmes et cette douleur sont si fortes qu'on en oublie pourquoi on souffre. Pleure-t elle pour lui ou pour ce décor et cette philosophie? Est ce important en réalité de le savoir?
Pour moi c'est pareil. Jurer à une terre qu'on la reverra n'est ce pas jurer à cet homme que l'on va revenir?
Le bonheur est si sauvage, il n'en fait qu'à sa tête et court sans se retourner mais on finit toujours par le rattraper.

Alors j'essaye, j'attend en quelque sort que les 3 années qui suivent se passent. Aprés tout il ne me reste qu'un milier de jours avant d'obtenir cette liberté.

Texte Libre

Parfois on oublie qui on est, où on est. Souvent cette évasion ressemble à un choix mais n'en est pas un. C'est plutôt de l'inconscience, comme une impression que tout est acquis pour toujours. Parfois on grandit vraiment et on se retrouve réellement dans l'autre monde et on se rend compte que ce monde la n'est pas si clair et qu'il nous oblige à faire ce que l'on redoutait le plus. D'autres fois encore il se trouve que la vie nous donne ce pouvoir magique au moment opportun et pas un peu avant ou après. On se dit que c'est mieux ainsi mais le plus souvent l'avant était plus doux. Le mieux c'est de faire la part des choses mais la plupart des personnes meurent avant d'avoir atteint cette maturité. L'encore mieux c'est de découper sa vision en images et jeter ce qui désolidarisent les morceaux; mais ceci est une illusion inatteignable...

On peut souvent se donner un objectif et abandonner mais il se nomme lâcheté à partir du moment ou il sort de notre esprit. Par courtoisie au moins laissez moi me battre même si les guerres sont souvent sources de déceptions...

 

Texte Libre

Quand la pluie froide et loudre tombe comme la grèle et que la mélancolie s'abat sur nos yeux écarquillés.

Quand le puissant orage de nos nuits blanches écrase nos rêves et sévit comme un prince noir chevalier.

Quand le monde s'écroule sous le poids de tristesse et désaroi et que dans un souffle comme un murmure la dernière lueur s'éteint.

Quand le grincement effrayant de la fin s'éternise et nous force à pleurer en silence et à signer notre pacte avec le chagrain.

La nuit impose sa loi injuste et douloureuse bafouille nos espoirs d'un poignard sanglant déchirant le silence comme un éclair. La voix vide et creuse raisonne dans les ténebres et hurle à la mort qu'il faut s'incliner.

 

La pluie raisonne toujours sur la vitre de nos visages comme si le monde s'écroulait devant leur regard impitoyable.

Comment peut on torturer avec autant d'horreur et rester de marbre face à la douleur d'êtres innocents qui ne s'entendent plus parler depuis l'éternité?!?

Soif de larmes, jalousie???

Quoi qu'il en soit le monde regarde consterné mais approbateur jusqu'à la fin; êtres étouffés par l'amour et la distance et essouflés de ne plus pouvoir crier son dégout. Le peuple se nourit de ça, boit jusqu'à la dernière goutte l'esperance pour le simple plaisir de gaspiller!!!

Alors ne vous étonnez plus si nous courrons vers le futur pour échaper à la sentence du présent!!!

 


Il faut imaginer. Il faut s'abandonner au monde, aux croyances ainsi qu'aux rêves et aux désirs; continuer à croire en ce qui est impossible car c'est comme ça que l'échéance s'éloigne. Il faut se laisser aller dans le vent mais souffler à l'opposé car chaque petit souffle est une partie acquise de ce qui est invincible. Il faut croire en ses rêves et ne pas se laisser vaincre par le fait qu'ils soient passagers; il faut les réaliser. Il faut se mettre à la place de celui qui songe pour ne pas l'étouffer de réalités écrasantes. Il faut sourire même lorsqu'il est tard et que le moral s'alourdit brûlant et grandiose de brutalité comme la nuit qui tombe. Il faut se forcer à croire en sois même mais surtout en la beauté de certaines choses car il existe de merveilleux personnages; il faut que l'extraordinaire perception qu'ils possèdent surpasse toutes formes de désespérance car ils mettent en jeu leur idylle. Il faut que le temps qui s'arrête un instant soit profité, consumé, consommé jusqu'au dernier instant.

Mais il faut surtout se battre contre le temps qui passe et qui mine l'esprit car il n'est jamais trop tard. On dit que le monde change constamment alors pour une fois il serait bien que la modification soit positive; sans égoïsme, au moins pour nous...

 

3 août 2008 7 03 /08 /août /2008 17:42
Marre de consoler la lune quand le soleil refuse de se lever ... Insouciante indifference envers les autres ... Serrer les dents pour qui? pour quoi? ... Faut il une occasion speciale pour jeter l'éponge? ... Ne pas regarder, ne pas se retourner sur son passé ... derrière ce qu'il ne faut pas voir ... il ne faut pas que tu vois ... je ne cesse de me rambobiner le film ... je veux que tout redevienne comme avant ...
Combien il faut payer pour oublier? C'est une obcession... Combien je vous doit si je veux laisser tomber? ... Et pourquoi résister? En quoi tout pourrait s'arranger? ... Attendre sa chance ou bousculer les evidences? ... Laisser tomber le voile ou se laisser mourrir? ... Pourquoi attendre? ... Je ne suis qu'un pantin du destin ... Ne touchez a rien nous sommes tous les pantins du destin ... Vous pouvez comprendre combien c'est difficile ... Pouvez vous me croire? ... N'essayez pas de donner un coup de main qui peut vous desservir ... C'est chacun pour sois je l'ai compris ...
Tu sais moi je peu te le faire oublier facilement ton homme ... il disait ... c'est chacun pour sois je le savais ... laissez moi sombrer ... oublier pour qui? pour quoi faire? ... Mettre de côtés toutes les idioties que l'on raconte ... Ne faites pas d'histoires, laissez parler ma voix ... Mais n'oubliez pas ... N'oubliez pas ...

On est tous les jouets du destin...
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